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Investir : c’est à nouveau possible !

Les objectifs de bonne gestion, fixés en décembre 2013 par le conseil d’administration, sont atteints, voire dépassés. En effet, le résultat du compte financier de l’université est excédentaire, ce qui permet d’augmenter le fonds de roulement de huit millions d'euros : c’est la première fois depuis six ans !
Ce résultat est obtenu grâce à une augmentation des recettes et une hausse maîtrisée des dépenses. Le bon résultat provient aussi des efforts des composantes et des services. La solidarité s’est exercée, avec respect de l’autre et sens de l’intérêt collectif, afin d’aider ceux qui en avaient le plus besoin. Mais attention, certaines économies sont conjoncturelles, telle la baisse des coûts de chauffage (il a fait moins froid que prévu !).
Si nous pouvons aujourd’hui présenter ce résultat, c’est bien parce que chaque acteur de l’université a agi de façon responsable. Une légère embellie se fait donc jour mais elle reste fragile. Pour autant, puisqu’embellie il y a, ces résultats doivent servir à investir pour améliorer la situation quotidienne de tous : vie étudiante, conditions de travail des étudiants et des personnels, performances énergétiques, renouvellements des matériels informatique et numérique. Des investissements qui sont bien souvent des rattrapages, car depuis 2012, ils étaient restés bien en deçà des besoins avérés. C’est donc le moment de rattraper partiellement ce retard.
Mais on me dira : pourquoi ne pas consacrer ces fonds à dégeler des postes ? Deux réponses : tout d’abord, techniquement, il nous est interdit de consacrer le fond de roulement à de la masse salariale. En second lieu, il faut considérer que cette décision nous engagerait sur plusieurs années. Ce n’est donc pas le fonds de roulement, mais bien le prochain dialogue de gestion qui permettra de préparer une campagne d'emploi pour 2016 qui visera à assouplir les contraintes qui pèsent actuellement sur l’emploi. 

Jean-Yves Pabst,
Vice-président chargé des finances et du numérique

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Compte financier 2014 : de bons résultats

Le compte financier marque la fin d’un exercice budgétaire*. Celui qui a été adopté à l’unanimité du conseil d’administration mardi 24 mars 2015 portait sur la réalisation budgétaire de l’année 2014. En 2014, le résultat de fonctionnement du compte financier de l’université est excédentaire de 7,9 millions d’euros. Le fonds de roulement a ainsi pu être abondé de 8 millions.

Ce résultat a été obtenu grâce à une augmentation des recettes de 4,6 % et une hausse maîtrisée des dépenses de 2,9 %. La masse salariale représente 69% des dépenses totales exécutées en 2014 et progresse peu (0,7%), comparativement à l’année 2013 (2,5%) pour atteindre un montant total de 335 millions. Le montant total des dépenses de l’université s’élèvent à 488 millions. Elles ont augmenté de plus de 18 millions par rapport à l’année précédente, dû à une hausse des programmes Idex (22 millions) et de l’Opération campus (11 millions). Quant aux recettes, elles s’élèvent à 486 millions, soit plus de 20 millions par rapport à l’année précédente. Elles comprennent les recettes de fonctionnement pour 42 millions et englobent notamment les droits d’inscription pour 21,1 millions (+8,7%), la formation continue pour 9,5 millions, (+8,6%), et divers prestations de recherche pour 1,5 million (-53%, baisse consécutive à la poursuite du transfert des activités de valorisation vers la Satt). Les recettes comprennent également les subventions d’exploitation pour un montant de 366 millions (359 millions en 2013), dont les dotations d’État (326 millions, stable). Les recettes d’investissement se montent elles à 15 millions d’euros (Opération campus, Idex, Ease). L’écart en dépenses le plus significatif entre le prévisionnel et le réalisé se situe dans les services centraux, notamment dû à des facteurs conjoncturels (consommation moins importante de fluides en raison d’une météo plus clémente), techniques (comptabilisation de recettes en fonctionnement et dépenses en investissement) et politiques (maîtrise accrue des postes de dépenses en matière immobilière, consommation globale moindre des crédits alloués).
Les comptes de l’université ont été certifiés par les commissaires aux comptes, attestant de la fiabilité et de la sincérité des opérations et des progrès réalisés par l’université depuis six ans. Une seule réserve porte sur l’inventaire des biens mobiliers, actuellement en cours de réalisation.

Armelle Tanvez 

*Le compte financier clôt définitivement l’exercice budgétaire. Chaque année, ce dernier débute par la lettre sur les orientations budgétaires (juin), se poursuit par les dialogues de gestion (de juin à septembre), puis vient ensuite le budget de niveau 1 et 2 (octobre et novembre) et enfin la présentation du budget primitif en décembre. Ce dernier est toujours une prévision des dépenses et des recettes pour l’année à suivre, exercice toujours difficile car un certain nombre d’inconnus existe, comme par exemple le niveau de dotation de l’État ou le niveau des ressources extérieures. 

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« Santé, sport et citoyenneté pour les étudiants »

Quentin Menigoz a été élu vice-président Vie universitaire lors du congrès du 27 janvier dernier. Chargé de mission « citoyenneté » de son prédécesseur, Quentin n’est pas complètement débutant dans ce type de fonction. Il nous explique qu’il axera son mandat autour de trois thématiques principales : la santé, le sport et la citoyenneté des étudiants. 

Quel a été votre parcours à l’Université de Strasbourg, dans vos études, et dans vos engagements associatifs et électifs ?
Je suis aujourd’hui en deuxième année au sein du département d’études territoriales de l’Institut d'études politiques, qui est physiquement implanté à Sélestat. Mais on peut dire que j’ai un peu cherché ma voie dans mes études : j’ai d’abord fait du droit, puis de la théologie catholique, avant de me tourner vers Sciences Po. Il faut dire que dans le même temps, j’ai été relativement actif dans mon engagement « citoyen » : Amicale de droit, bureau national de l’Ares*, mandats électifs au conseil de la Faculté de droit et au Crous. Et enfin, j’ai été chargé de mission « citoyenneté » d’Olivier Hoerdt, pendant deux ans, ce qui m’a permis d’approcher la gouvernance universitaire. 

C’est donc assez naturellement que vous avez envisagé de prendre la suite d’Olivier Hoerdt comme vice-président ?
L’idée n’est pas de moi, mais elle m’a plu et mon entourage m’y a poussé. Pour avoir vu travailler Olivier pendant deux ans, je savais que c’est un poste où l’on peut vraiment faire du concret. Et bien sûr, cela n’a été possible que parce qu’Alain Beretz a accepté ma candidature et apprécié mes idées, mes projets. Je terminerai mon mandat en même temps que lui, fin 2016.
Sur le plan des idées et des valeurs je suis bien sûr proche de l’Afges, dont j’ai dirigé la campagne, et j’ai des liens amicaux avec certains de ses membres, mais je me sens clairement indépendant de toutes les associations étudiantes. 

Justement, quelles sont vos idées, quels sont vos projets ?
Il y a trois thématiques qui me tiennent plus spécifiquement à cœur et sur lesquelles j’aimerais avancer pendant ces deux ans : la santé des étudiants, le sport et la citoyenneté.
On sait que les dépenses de santé sont les toutes premières à être abandonnées par les étudiants en situation précaire, avec toutes les conséquences que cela peut avoir. A l’Université de Strasbourg, il existe un service de médecine préventive pour les étudiants (le Sumps), qui fait très bien son travail…de prévention. De mon côté, je pense qu’il faut imaginer de nouveaux systèmes d’accès aux soins pour les étudiants qui n’ont pas les moyens de se soigner. Ce sera mon premier cheval de bataille.
Le second concerne le sport et le développement de la pratique sportive. D’abord, que les étudiants fassent du sport, c’est excellent pour leur santé. Et puis, je vois d’autres enjeux liés au sentiment d’appartenance, au caractère fédérateur. C’est pourquoi je me suis rapproché des différents opérateurs du sport universitaire, notamment pour favoriser la promotion des compétitions inter-établissements.
Enfin, un de mes objectifs serait de faire progresser la participation aux élections étudiantes. Même si Strasbourg a des résultats toujours légèrement plus élevés que la moyenne nationale, la participation a reculé en 2014 et je voudrais améliorer la performance en 2016. 

Comment vous organisez-vous ?
Je suis en train de constituer une petite équipe de chargés de mission. Hugo Bousquet est d’ores et déjà nommé à la vie étudiante, qui reste une thématique de première importance, et à terme il y aura trois autres chargés de mission : sport, santé et citoyenneté. Une petite équipe opérationnelle pour faire face à la charge de travail.
Ce que nous apprécions aussi dans notre rôle, c’est de faire le lien entre les étudiants et la gouvernance. L’existence d’un étudiant vice-président Vie universitaire au sein du bureau de l’Unistra est un choix politique, et le président Beretz rappelle à chaque élection que ce VP est un VP comme les autres, tout aussi important que les autres. Je prends donc ma tâche à cœur.

Propos recueillis par Caroline Laplane

*Fédération nationale des associations représentatives des étudiants en sciences sociales

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Unistra.fr goes English !

L’Université de Strasbourg vient de mettre en ligne une nouvelle version de son site web en anglais*.

Les contenus ont été revus, réorganisés et étoffés pour plus de simplicité et d’accessibilité à l’information. Destiné prioritairement à guider les étudiants et les chercheurs non-francophones dans leurs démarches pour venir à l’Unistra, la version anglophone du portail unistra.fr s’adresse également à tous nos publics étrangers et partenaires internationaux.
Calqué sur le modèle de la version française, le site est doté d’une rubrique Actualités, axée sur les événements à portée internationale ainsi que des informations ponctuelles à destination des futurs étudiants et chercheurs étrangers.
De nouvelles rubriques seront ajoutées dans les semaines à venir, notamment une Foire aux questions destinée à répondre aux demandes les plus courantes de nos publics étrangers ainsi qu'une traduction plus complète de l’offre de formation dispensée à l’Unistra.

Camille Frank

*Ce projet est financé par le levier Synergies2 de l'Initiative d'excellence du programme Investissements d'avenir.

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« Le regard sur les sciences humaines et sociales est en train de changer en Europe »

Une matinée consacrée aux perspectives européennes de la recherche en sciences humaines et sociales (SHS) se déroulera mercredi 22 avril prochain à la Maison interuniversitaire des sciences de l’homme – Alsace (Misha). Isabel Iribarren, membre de la communauté SHS de la Ligue des universités de recherche européennes (Leru) et Jérôme Castle, chargé de mission Leru auprès du président de l'Université de Strasbourg, nous éclairent sur ce moment.

En quoi va consister cette matinée ?
JC : Nous souhaitons mobiliser la communauté SHS de l’université – mais aussi au-delà – pour montrer aux chercheurs que leurs thématiques sont au cœur des préoccupations de l’université, de différentes instances européennes et de la Leru. Wim van den Doel, président de la communauté SHS de la Leru, sera présent pour apporter un éclairage sur l’avenir des SHS en Europe.
II : En deuxième partie de matinée, une table ronde permettra aux chercheurs d’identifier les différentes ressources pour candidater à un programme de recherche européen dans le domaine des SHS. La responsable du Bureau Europe et international de l’université sera présente et trois chercheurs dont les projets ont reçu des financements européens témoigneront. 

Quel est l’objectif ?
JC : Il s’agit d’encourager les chercheurs à se lancer dans des projets européens. On sent que le regard sur les SHS est en train de changer en Europe, d’autant plus depuis les événements tragiques de début janvier, les politiques prennent conscience de l’importance du travail sur la compréhension de l’humain. Ce genre de moment permet aussi de faire vivre la Leru au sein de l’université et de montrer l’impact de l’appartenance de l’Unistra à la Leru sur la vie universitaire et les savoirs.
II : Nous aimerions aider les chercheurs à dépasser ce réflexe classique de recourir exclusivement à leur équipe d’accueil pour le financement d’un projet. Cette attitude d’autocensure est alimentée chez certains par la méconnaissance des nombreuses autres sources de financement à leur disposition. 

Que pouvons-nous dire de la recherche en SHS en Europe aujourd’hui ?
II : L’interdisciplinarité se pratique très souvent en SHS, c’est la tendance qui prédomine que ce soit en France, au Royaume-Uni, en Allemagne, en Suisse. Par exemple, à l’Université de Strasbourg, nous avons fédéré les médiévistes de sept composantes ; cette quinzaine d’enseignants-chercheurs interviennent pour le master Études médiévales depuis sa création en 2011. Cette tendance à décloisonner les savoirs est toute naturelle ! C’est un habitus de recherche très fécond. L’idéal serait maintenant de pouvoir s’ouvrir aux sciences dures ; si toutes les thématiques de recherche ne s’y prêtent pas forcément, des synergies sont possibles. Personnellement, j’ai un projet sur la représentation des animaux au Moyen-Âge et je pense notamment, qu’à un moment donné, je ferai appel à des biologistes. 

Propos recueillis par Floriane Andrey

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Maison universitaire internationale : les logements ouverts à la réservation

La Maison universitaire internationale (MUI) accueillera, dès la rentrée 2015, les étudiants et les chercheurs en mobilité. La transformation du silo Seegmuller, situé sur la presqu’île Malraux, permettra ainsi de leur offrir 170 logements et des locaux d’activités et de vie nécessaires. 

La Maison universitaire internationale, résultat du réaménagement de la tour Seegmuller dans le cadre de l’Opération campus, doit ouvrir ses portes à la rentrée 20151. Elle offrira notamment 170 hébergements, d’une surface de 18,5 à 28 mètres carrés, qui seront majoritairement destinés à l’accueil des étudiants et des chercheurs en courts et moyens séjours afin de compléter les offres actuelles du Crous et de l’Université de Strasbourg2.
Ce projet est l’occasion d’un partenariat étroit avec l’association strasbourgeoise Amitel. « Si Amitel est bien le gestionnaire de la partie hébergement, il est prévu que l’Université de Strasbourg ait une priorité dans les réservations, explique Marie Déroche du Bureau d'accueil des chercheurs étrangers en charge du projet avec Sandra Rebel. Il a donc été décidé de mettre en place une centrale de réservation pour concentrer les demandes d’hébergement des publics en mobilité. » Travail de longue haleine, ce chantier mobilise actuellement la Direction informatique, le Service d’aide au pilotage, le Syndic et plusieurs composantes. 

Tous les services d’accueil réunis 

« Pour la période transitoire, jusqu’en septembre 2015, nous allons continuer à fonctionner avec les acteurs actuels en charge du logement et ajouter les studios Amitel à notre offre. En attendant, la mise en place des nouveaux formulaires de réservation, les demandes d’information peuvent être adressées à info-logement@unistra.fr », ajoute Marie Déroche.
Sur les quelque 5 000 mètres carrés de la MUI, des services d’accueil seront installés au rez-de-chaussée sur plus de 500 mètres carrés ; ils permettront d’améliorer l’offre de l’université en matière de services, conseils (titres de séjour, Caisse d’allocations familiales, etc.), et activités (cours de français, événements festifs, expositions, etc.) à ces publics qu’ils soient en mobilité entrante ou sortante. Le département mobilité de la Direction des relations internationales, le centre Euraxess (Bureau d'accueil des chercheurs étrangers) de la Direction de la recherche et une partie du Service de la vie universitaire s’y installeront et animeront ensemble cet espace. « Les partenaires locaux, en particulier les associations, feront également vivre cet endroit et contribueront à en faire un lieu ouvert, attractif, qui concourt au rayonnement de l’université. » 

F.A. 

1L’Initiative d’excellence du programme Investissements d’avenir a permis de financer des postes d'assistance au montage du projet ainsi que du mobilier et un renforcement de l'offre de services proposés.
2La villa Arconati-Visconti accueille plus de 300 chercheurs en courts séjours chaque année et le Collège doctoral européen compte plus de 100 studios pour les séjours de doctorants.

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Le chantier de la Maison universitaire internationale en images

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L'Europe en questions à l'université

Quelque 180 personnes ont assisté, jeudi 26 mars à l'Escarpe, au débat « Comment rêver l’Europe de demain ? », animé par Enrico Letta, ancien président du conseil des ministres italien, en dialogue avec Vlad Constantinesco, professeur émérite de droit public à l’Université de Strasbourg, dans le cadre des Grands débats de l'Université de Strasbourg - L'Europe en questions.

Quels projets pour l’Union de demain ? Comment relancer l’économie européenne, affirmer la place de l’Union dans le monde, restaurer la confiance des citoyens ? Comment, surtout, donner davantage de sens à l’Union en précisant ses finalités ? C'est de ces questions qu'Enrico Letta, Vlad Constantinesco et deux étudiants ont débattu devant un public nombreux.
Les deux derniers débats se dérouleront les 9 et 16 avril prochains. Catherine Trautmann, vice-présidente de l’Eurométropole de Strasbourg, se penchera sur la question culturelle jeudi 9 avril à 18 h 30 à la Faculté de droit. Guido Bellati Ceccoli, ambassadeur du Saint-Marin, se demandera dans quelle mesure le dialogue interculturel est possible en Europe avec Frédéric Rognon de la Faculté de théologie protestante jeudi 16 avril à 18 h 30 à la Faculté de droit.

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Des outils de communication pour les établissements associés

Charte graphique dédiée et webzine sont désormais disponibles pour les membres de la communauté qui souhaitent s'informer ou communiquer sur les projets menés dans le cadre du contrat de site.

Le groupe "communication" des établissements associés est composé de communicants issus des six établissements directement ou indirectement associés au sein du contrat de site alsacien.
Ce groupe a travaillé aux premiers outils de communication des établissements associés, qui prennent aujourd'hui deux formes : une charte graphique et un webzine.
La charte graphique des établissements associés est notamment disponible dans l'ENT, Service de la communication, chartes et gabarit. Il s'agit en fait d'une nouvelle identité, qui s’applique lorsque la communication porte sur un sujet commun du contrat de site. Elle est composée du logo de l’Université de Strasbourg et d’un élément distinctif qui lui donne un aspect collectif. Aussi, chaque établissement associé a la possibilité d’ajouter sur ses propres documents de communication le logo de l’Université de Strasbourg ou l’identité commune. Ce travail d'identité visuelle pour les établissements associés sera affiné dans le cadre du chantier Idex d'identité complexe.
La première édition du webzine des établissements associés vient d'être publiée. Ce nouveau média propose de l'information sur l'avancement des différents projets lancés dans le cadre du contrat de site. Il permet également d'accéder à des pages de présentation du contrat, et des établissements associés. Son accès est libre et ouvert à tous.